Différences entre versions de « La faction de la Coalition »

De Wiki Olydri
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
Ligne 23 : Ligne 23 :
 
Depuis, les deux factions sont en état de guerre plus ou moins latente, où l'Empire est quasiment en permanence en situation hégémonique. À la fin du [[Deuxième Âge]], alors que les troupes de la Coalition assiégeaient [[Centralis]], [[Sirius Lucans]] lâcha Tabris sur les assiégeants, lequel massacra toute l'armée ennemie. [[Lys]] et [[Ark'hen]] intervinrent pour mettre fin au massacre et obligèrent Sirius à mettre Tabris hors d'état de nuire<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=118}}.</ref>. En échange, la technologie fut admise dans  le [[Pacte du Cycle Éternel]].
 
Depuis, les deux factions sont en état de guerre plus ou moins latente, où l'Empire est quasiment en permanence en situation hégémonique. À la fin du [[Deuxième Âge]], alors que les troupes de la Coalition assiégeaient [[Centralis]], [[Sirius Lucans]] lâcha Tabris sur les assiégeants, lequel massacra toute l'armée ennemie. [[Lys]] et [[Ark'hen]] intervinrent pour mettre fin au massacre et obligèrent Sirius à mettre Tabris hors d'état de nuire<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=118}}.</ref>. En échange, la technologie fut admise dans  le [[Pacte du Cycle Éternel]].
  
A la fin du [[Troisième Âge]], un raid de la Coalition parvient à piller la [[Tour du savoir]]. Les connaissances ainsi acquises lui permirent de prendre le leadership sur l'Empire, leadership bientôt perdu à cause de [[Fantöm]]<ref>{{Roman Noob|saison=2.5|page=58}}.</ref>. Mais l'Empire subit de nouveaux revers, suite à la disparition du premier avatar de Fantöm et a même risqué la disparition au cours de la [[bataille de Centralis]]<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=108-175}}.</ref>.
+
A la fin du [[Troisième Âge]], un raid de la Coalition parvient à piller la [[Tour du savoir]]. Les connaissances ainsi acquises lui permirent de prendre le leadership sur l'Empire, leadership bientôt perdu à cause de [[Fantöm]]<ref>{{Roman Noob|saison=2.5|page=58}}.</ref>. Mais l'Empire subit de nouveaux revers, suite à la disparition du premier avatar de Fantöm et a même risqué la disparition au cours de la [[2e bataille de Centralis]]<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=108-175}}.</ref>.
  
 
Peu après, le [[Général Helkazard]], chef de la faction, est assassiné par Tabris. Un [[Conseil de transition]] lui succède, dont les membres sont tués peu après par [[Lorth Kordigän]], un extrémiste anti-technologie.
 
Peu après, le [[Général Helkazard]], chef de la faction, est assassiné par Tabris. Un [[Conseil de transition]] lui succède, dont les membres sont tués peu après par [[Lorth Kordigän]], un extrémiste anti-technologie.
Ligne 50 : Ligne 50 :
 
La garde aéroportée de l’armée coalisée possèdes des phénix blancs en guide de monture<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=206 (2e édition, numérique)}}</ref> et des [[zeppelin|zeppelins]] sont utilisés pour les déplacements de masse, comme l’attaque de [[Syrial]] au tout début du [[quatrième Âge]]<ref>{{Roman Néogicia|livre=2|page=155|noarticle=}}</ref>.
 
La garde aéroportée de l’armée coalisée possèdes des phénix blancs en guide de monture<ref>{{Roman Noob|saison=3.5|page=206 (2e édition, numérique)}}</ref> et des [[zeppelin|zeppelins]] sont utilisés pour les déplacements de masse, comme l’attaque de [[Syrial]] au tout début du [[quatrième Âge]]<ref>{{Roman Néogicia|livre=2|page=155|noarticle=}}</ref>.
  
L’armée peut faire appel à des mercenaires, comme lors de la [[bataille de Centralis]] pour retarder la branche magique de l’armée impériale<ref>{{Roman Néogicia|livre=3|page=282|noarticle=}}</ref>.
+
L’armée peut faire appel à des mercenaires, comme lors de la [[2e bataille de Centralis]] pour retarder la branche magique de l’armée impériale<ref>{{Roman Néogicia|livre=3|page=282|noarticle=}}</ref>.
  
 
Des escouades sont spécialisées dans les enlèvements, elles utilisent alors une magie élémentaire de glace pour immobiliser leur cible sans la blesser<ref>{{Roman Néogicia|livre=2|page=41|noarticle=}}</ref>.
 
Des escouades sont spécialisées dans les enlèvements, elles utilisent alors une magie élémentaire de glace pour immobiliser leur cible sans la blesser<ref>{{Roman Néogicia|livre=2|page=41|noarticle=}}</ref>.

Version du 23 juin 2022 à 20:17

Faction de la Coalition
Symbole de la Coalition
Symbole de la Coalition
 
Chef : Lorth Kordigän.
Ancien chef : Gideross
Général Helkazard.
Capitale : Glacesang.
Devise : Coalition ! Destruction !.
Champion : Amaras.
Guildes : Guilde Roxxor
Guilde des Player Killer
Guilde des Adorateurs de Gaea.
Curseur des joueurs de la Coalition.
Curseur des joueurs de la Coalition.

Les différentes factions
EmpireCoalitionOrdreChaosSans-factionsHors-la-loi

La Coalition est une alliance de circonstance[1] entre clans, baronnies, duchés et autres royaumes en réaction à l’arrivée de Denetius Lucans, et donc de la technologie, à la tête de l’Empire.

La capitale est Glacesang. Le chef de la Coalition a longtemps été le Général Helkazard avant qu’il ne soit tué par Tabris, et remplacé par le Conseil de transition, puis par Lorth Kordigän.

Histoire

Au cours du Deuxième Âge, l'empereur Albörtan, grand admirateur de la technologie et sans enfant, désigna comme successeur son ami Denetius Lucans, petit-fils d'Oldrek. Un certain nombre de rois, barons et chefs de guerre demandèrent alors à Denetius d'accéder à la technologie. Sur le refus de ce dernier, qui craignait de voir la technologie retournée contre ses intérêts, des seigneurs firent sécession. Menés par Gideross, qui devient le premier chef de la Coalition, ils assassinèrent Retak, le chef de Glacesang, alors sous bannière Impériale, et prirent la ville. C'est ainsi qu'il se créa deux factions, l'Empire et la Coalition.

Depuis, les deux factions sont en état de guerre plus ou moins latente, où l'Empire est quasiment en permanence en situation hégémonique. À la fin du Deuxième Âge, alors que les troupes de la Coalition assiégeaient Centralis, Sirius Lucans lâcha Tabris sur les assiégeants, lequel massacra toute l'armée ennemie. Lys et Ark'hen intervinrent pour mettre fin au massacre et obligèrent Sirius à mettre Tabris hors d'état de nuire[2]. En échange, la technologie fut admise dans le Pacte du Cycle Éternel.

A la fin du Troisième Âge, un raid de la Coalition parvient à piller la Tour du savoir. Les connaissances ainsi acquises lui permirent de prendre le leadership sur l'Empire, leadership bientôt perdu à cause de Fantöm[3]. Mais l'Empire subit de nouveaux revers, suite à la disparition du premier avatar de Fantöm et a même risqué la disparition au cours de la 2e bataille de Centralis[4].

Peu après, le Général Helkazard, chef de la faction, est assassiné par Tabris. Un Conseil de transition lui succède, dont les membres sont tués peu après par Lorth Kordigän, un extrémiste anti-technologie.

Organisation, politique et société

La division au sein de la faction

La Coalition a une organisation fragile. Elle est constituée de trois groupes principaux qui luttent en permanence pour prendre le pouvoir[5] :

  • Ceux qui souhaitent une hégémonie totale et immédiate de la magie, souhaitant raser l’Empire, exterminer les néogiciens et abandonner la technologie. Lorth Kordigän en fait partie, et libéralisa l’utilisation des sorts interdits dans ce but.
  • Ceux, plus modérés, qui souhaitent simplement que l’Empire se soumette aux Sources, ce qui passe par l’arrêt de la reproduction des néogiciens (qui, par l’ablation de leurs antennes captatrices de mana, sont entièrement coupés des Sources). Le Général Helkazard les représente bien, et est favorable à un effacement de ce peuple par le temps plutôt que par la force.
  • Ceux qui ont pour objectif de s’emparer de la technologie pour l’allier à la magie à des fins militaires, pour accroitre leur influence. Cette « technomagie » abandonnerait la rosaphir au profit du mana. C’est ce dernier groupe, avide de pouvoir, que le Général Helkazard redoute le plus.

Ces divisions rendent le gouvernement difficile et instable, les leaders restent rarement longtemps, remplacés par des coups d’états. Il est d’usage d’arracher le pouvoir par la force (comme Helkazard[6] et Lorth Kordigän). Le Général Helkazard est celui qui a eu le plus long règne depuis Gideross. Toutes ses balafres sur le visage sont d’ailleurs dues à des membres de son propre camp, à l’exception de celle infligée par Saly Asigar.

Les néogiciens

Dans la société coalisée, les néogiciens sont évidemment mal vus. Ceux qui trahissent l’Empire pour la Coalition sont marqués au fer rouge sur le front, à la fois pour leur éviter de se faire tuer à vue, mais aussi pour les empêcher de retourner dans l’Empire. Les hommes sont castrés, parqués dans des camps insalubres et isolés où ils doivent travailler jusqu’à la mort, tandis que les femmes sont réduites en esclavage auprès de seigneurs aux gouts douteux. Bien sûr, aucun Coalisé ne peut être inquiété pour avoir tué un néogicien renégat.

Pour les néogiciens qui se font capturer, la situation peut être encore pire. Les prisonniers sont torturés, on leur coupe des membres, ouvre des artères, on les éventre, puis ils sont laissés pour morts. Il ne s’agit pas de cas isolés, mais de techniques parfois même enseignées dans des sectes ou des corps d’armée. Certains religieux parlent de rituels permettant aux neogiciens de regretter leurs choix. Il arrive dans des villages reculés que les habitants pratiquent le sacrifice de néogicien pour les Sources, ou des séances de torture pour divertir les badauds. La vivisection est également pratiquée pour comprendre les mécanismes de leur corps. Ces traitements sont réservés aux « injectés », car les Coalisés craignent que les sources perçoivent la torture chez les autres Olydriens[7].

Artisanat et savoirs

Les étoffes coalisées sont reconnues à travers toute Olydri pour leur raffinement[8].

La Coalition possède un héritage magique très important, en partie dû à celui que les Keosamas ont légué, conservé dans les profondeurs du Palais de Galcesang. Ces connaissances sont enseignées dans les écoles, comme celle de la capitale.

Armée

Les membres els plus puissants de la Coalition sont les Seigneurs de guerre. Ils étaient au nombre de huit avec le Général Helkazard, et sont capables de manier les sorts interdits[9].

La garde aéroportée de l’armée coalisée possèdes des phénix blancs en guide de monture[10] et des zeppelins sont utilisés pour les déplacements de masse, comme l’attaque de Syrial au tout début du quatrième Âge[11].

L’armée peut faire appel à des mercenaires, comme lors de la 2e bataille de Centralis pour retarder la branche magique de l’armée impériale[12].

Des escouades sont spécialisées dans les enlèvements, elles utilisent alors une magie élémentaire de glace pour immobiliser leur cible sans la blesser[13].

Membres

Liste des membres de la Coalition

Localités

Les localités contrôlées par la Coalition sont :

sur Erka sur Keos sur Murn sur Örn sur Solmen sur Syrial sur des îles
villes :
Villages :

Pour les joueurs d’Horizon

Organisation

A la suite de sa défaite face à Fantöm et après plusieurs échecs de tentatives pour inverser la tendance, Amaras décide d'unifier totalement sa faction. Il rencontre les chefs des différentes guildes et exige leur allégeance, soumettant les contestataires par la force. Il instaure un système de taxes en crédits et artefacts pour soutenir l'effort de guerre[14].

Références

  1. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 83
  2. Les Fantômes du passé (roman Noob, saison 3.5), page 118.
  3. Le Continent sans retour (roman Noob, saison 2.5), page 58.
  4. Les Fantômes du passé (roman Noob, saison 3.5), page 108-175.
  5. Contagion (roman Néogicia, livre 3), pages 304-305
  6. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 84
  7. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 254-255
  8. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 57
  9. Contagion (roman Néogicia, livre 3), page 163
  10. Les Fantômes du passé (roman Noob, saison 3.5), page 206 (2e édition, numérique)
  11. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 155
  12. Contagion (roman Néogicia, livre 3), page 282
  13. Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 41
  14. Les Fantômes du passé (roman Noob, saison 3.5), pages 129 et 130.