Différences entre versions de « Paröw »

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Située à l’est du continent de Keos, Paröw est une citée du début du deuxième âge, rachetée la fin du deuxième âge par la puissante organisation des gagnetoriths (se prononce « Gagne Torite »). Comme toutes les cités gagnetorith, Paröw est neutre et prospère. Elle ne cesse de se développer grâce au commerce (plans d’objets technologiques, objets magiques, reliques rares, vente d’armes, location de services de mercenaires, etc…). Paröw a pour particularité de mêler architecture magique classique avec des édifices technologiques (peu sophistiqués car les gagnetoriths, aussi riches soient-ils, ne possèdent pas le secret de la technologie. Ils se contentent de quelques plans et objets volés et rachetés). A noter que Paröw est difficile d’accès par la terre. Au nord, les montagnes de Piqueciel et à l’est, le delta entre la rivière de Piqueciel et l’océan de Flosanfin forment des barrières naturelles complexes à franchir. La mer et les airs sont souvent privilégiés pour se rendre dans cette ville.
 
Située à l’est du continent de Keos, Paröw est une citée du début du deuxième âge, rachetée la fin du deuxième âge par la puissante organisation des gagnetoriths (se prononce « Gagne Torite »). Comme toutes les cités gagnetorith, Paröw est neutre et prospère. Elle ne cesse de se développer grâce au commerce (plans d’objets technologiques, objets magiques, reliques rares, vente d’armes, location de services de mercenaires, etc…). Paröw a pour particularité de mêler architecture magique classique avec des édifices technologiques (peu sophistiqués car les gagnetoriths, aussi riches soient-ils, ne possèdent pas le secret de la technologie. Ils se contentent de quelques plans et objets volés et rachetés). A noter que Paröw est difficile d’accès par la terre. Au nord, les montagnes de Piqueciel et à l’est, le delta entre la rivière de Piqueciel et l’océan de Flosanfin forment des barrières naturelles complexes à franchir. La mer et les airs sont souvent privilégiés pour se rendre dans cette ville.
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'''Comte de Paröw''' : Au début du deuxième âge, avant l’arrivée des gagnetoriths, Paröw était un village construit par le comte de Paröw (Ornedokï Paröw), et prospérant selon les traditions magiques. Plusieurs générations plus tard, le dernier comte (Heröld Paröw), plutôt aventurier dans l’âme, parcourut le monde d’Olydri. Il découvrit dans un grimoire du premier âge trouvé dans un donjon, l’existence de Glavëris, une épée légendaire (objet unique). Fasciné par cette arme (dont on se demande encore si elle ne choisit pas son futur possesseur à l’aide d’un pouvoir d’envoûtement), il explora vingt années durant les continents d’Olydri dans l’espoir de la faire sienne. Un jour, il rencontra un marchand de l’organisation des gagnetoriths dans une taverne de passage, et lui parla de son obsession devenue emprunte de folie. Le marchand lui demanda ce qu’il était prêt à donner en échange d’un tel objet, et le comte lui répondit « Mes terres et mon village ». Alors le gagnetorith fit appel aux puissantes ressources de l’organisation à laquelle il appartenait, et quatre ans plus tard, ils trouvèrent l’épée légendaire. Le comte tint sa promesse, et leur céda le village et le domaine de Paröw, mais il conserva son château et s’y enferma avec sa précieuse arme au pouvoir envoûtant. On ne le revit jamais plus.
 
'''Comte de Paröw''' : Au début du deuxième âge, avant l’arrivée des gagnetoriths, Paröw était un village construit par le comte de Paröw (Ornedokï Paröw), et prospérant selon les traditions magiques. Plusieurs générations plus tard, le dernier comte (Heröld Paröw), plutôt aventurier dans l’âme, parcourut le monde d’Olydri. Il découvrit dans un grimoire du premier âge trouvé dans un donjon, l’existence de Glavëris, une épée légendaire (objet unique). Fasciné par cette arme (dont on se demande encore si elle ne choisit pas son futur possesseur à l’aide d’un pouvoir d’envoûtement), il explora vingt années durant les continents d’Olydri dans l’espoir de la faire sienne. Un jour, il rencontra un marchand de l’organisation des gagnetoriths dans une taverne de passage, et lui parla de son obsession devenue emprunte de folie. Le marchand lui demanda ce qu’il était prêt à donner en échange d’un tel objet, et le comte lui répondit « Mes terres et mon village ». Alors le gagnetorith fit appel aux puissantes ressources de l’organisation à laquelle il appartenait, et quatre ans plus tard, ils trouvèrent l’épée légendaire. Le comte tint sa promesse, et leur céda le village et le domaine de Paröw, mais il conserva son château et s’y enferma avec sa précieuse arme au pouvoir envoûtant. On ne le revit jamais plus.
  
 
'''Château abandonné du comte de Paröw''' : Très à cheval sur les conventions qu’ils respectent toujours, les gagnetoriths n’ont jamais cherché à s’emparer du château du comte de Paröw, et ceci, même après sa (présumée) mort, sans descendance. On raconte que le fantôme du comte hante la bâtisse et se refuse à quitter les lieux car quelqu’un lui aurait dérobé son arme (celui qui l’aurait assassiné). Pour la récupérer, le poltergeist aurait conclu un pacte avec les sansâmes. Il les laisse utiliser sa demeure située au-dessus d’une réserve de Mal sombre (néant pur) emprisonné dans les profondeurs de la terre, et en échange, ils sont tenus de retrouver Glavëris (passée de mains en mains au fil des siècles) et de la lui ramener. Ceci explique la recrudescence d’attaques de sansâmes creusant des puisards de Mal sombre, libérant du néant, et affaiblissant peu à peu les flux émanant des Sources de la vie, de la mort et de l’infini dans cette région.
 
'''Château abandonné du comte de Paröw''' : Très à cheval sur les conventions qu’ils respectent toujours, les gagnetoriths n’ont jamais cherché à s’emparer du château du comte de Paröw, et ceci, même après sa (présumée) mort, sans descendance. On raconte que le fantôme du comte hante la bâtisse et se refuse à quitter les lieux car quelqu’un lui aurait dérobé son arme (celui qui l’aurait assassiné). Pour la récupérer, le poltergeist aurait conclu un pacte avec les sansâmes. Il les laisse utiliser sa demeure située au-dessus d’une réserve de Mal sombre (néant pur) emprisonné dans les profondeurs de la terre, et en échange, ils sont tenus de retrouver Glavëris (passée de mains en mains au fil des siècles) et de la lui ramener. Ceci explique la recrudescence d’attaques de sansâmes creusant des puisards de Mal sombre, libérant du néant, et affaiblissant peu à peu les flux émanant des Sources de la vie, de la mort et de l’infini dans cette région.

Version du 31 décembre 2013 à 12:39

Le village de Paröw est situé à l’est du continent de Keos. C’est un petit village médiéval traditionnel, avec la taverne du Pichet de bois, l’échoppe de Morcelin, la forge d’Ardacos (le marchand de la web-série), l’hôtel des ventes et l’Auberge du Dourêve.

Située à l’est du continent de Keos, Paröw est une citée du début du deuxième âge, rachetée la fin du deuxième âge par la puissante organisation des gagnetoriths (se prononce « Gagne Torite »). Comme toutes les cités gagnetorith, Paröw est neutre et prospère. Elle ne cesse de se développer grâce au commerce (plans d’objets technologiques, objets magiques, reliques rares, vente d’armes, location de services de mercenaires, etc…). Paröw a pour particularité de mêler architecture magique classique avec des édifices technologiques (peu sophistiqués car les gagnetoriths, aussi riches soient-ils, ne possèdent pas le secret de la technologie. Ils se contentent de quelques plans et objets volés et rachetés). A noter que Paröw est difficile d’accès par la terre. Au nord, les montagnes de Piqueciel et à l’est, le delta entre la rivière de Piqueciel et l’océan de Flosanfin forment des barrières naturelles complexes à franchir. La mer et les airs sont souvent privilégiés pour se rendre dans cette ville.

Comte de Paröw : Au début du deuxième âge, avant l’arrivée des gagnetoriths, Paröw était un village construit par le comte de Paröw (Ornedokï Paröw), et prospérant selon les traditions magiques. Plusieurs générations plus tard, le dernier comte (Heröld Paröw), plutôt aventurier dans l’âme, parcourut le monde d’Olydri. Il découvrit dans un grimoire du premier âge trouvé dans un donjon, l’existence de Glavëris, une épée légendaire (objet unique). Fasciné par cette arme (dont on se demande encore si elle ne choisit pas son futur possesseur à l’aide d’un pouvoir d’envoûtement), il explora vingt années durant les continents d’Olydri dans l’espoir de la faire sienne. Un jour, il rencontra un marchand de l’organisation des gagnetoriths dans une taverne de passage, et lui parla de son obsession devenue emprunte de folie. Le marchand lui demanda ce qu’il était prêt à donner en échange d’un tel objet, et le comte lui répondit « Mes terres et mon village ». Alors le gagnetorith fit appel aux puissantes ressources de l’organisation à laquelle il appartenait, et quatre ans plus tard, ils trouvèrent l’épée légendaire. Le comte tint sa promesse, et leur céda le village et le domaine de Paröw, mais il conserva son château et s’y enferma avec sa précieuse arme au pouvoir envoûtant. On ne le revit jamais plus.

Château abandonné du comte de Paröw : Très à cheval sur les conventions qu’ils respectent toujours, les gagnetoriths n’ont jamais cherché à s’emparer du château du comte de Paröw, et ceci, même après sa (présumée) mort, sans descendance. On raconte que le fantôme du comte hante la bâtisse et se refuse à quitter les lieux car quelqu’un lui aurait dérobé son arme (celui qui l’aurait assassiné). Pour la récupérer, le poltergeist aurait conclu un pacte avec les sansâmes. Il les laisse utiliser sa demeure située au-dessus d’une réserve de Mal sombre (néant pur) emprisonné dans les profondeurs de la terre, et en échange, ils sont tenus de retrouver Glavëris (passée de mains en mains au fil des siècles) et de la lui ramener. Ceci explique la recrudescence d’attaques de sansâmes creusant des puisards de Mal sombre, libérant du néant, et affaiblissant peu à peu les flux émanant des Sources de la vie, de la mort et de l’infini dans cette région.