Galaé

Il s’agit de la capitale de l’Ordre. Cette cité se situe sur le continent de Syrial.

Extrait Roman Noob : « Ils prirent la direction du splendide palais laissant apparaître des fondations en or, en marbre et en verre. Il était composé d’une base en forme de dôme couleur sable transpercé en trois endroits par des tours nacrées. La plus grande partait du centre, et deux petites se trouvaient sur les côtés. Au sommet de chacun des longs cylindres de marbre se trouvait une sphère en verre avoisinant les dix mètres de diamètre. On pouvait apercevoir des gens à l’intérieur. Le joueur et le pnj montèrent des escaliers si larges, qu’une armée toute entière aurait pu passer en même temps. Ils aboutirent sur une place remplie de monde. Certains se retournèrent et affichèrent une expression de surprise. D’autres se contentaient de chuchoter quelque chose à l’oreille de leur voisin en les suivant des yeux. Ils traversèrent l’esplanade et entrèrent dans le bâtisse dont les portes étaient grandes ouvertes. Ils se trouvaient à présent dans le hall principal. Il était si grand qu’on aurait pu faire entrer une cathédrale, la Statue de la Liberté, ou même la Tour Eiffel ! songea Sparadrap le nez pointé en l’air et les yeux ronds. Sans hésiter, l’élémentaliste affiliée à l’air bifurqua et fit un mouvement de la main générant une légère onde de choc invisible, afin d’ouvrir une porte composée d’or et d’argent sur son passage. Elle semblait connaître parfaitement cet endroit. Ils débouchèrent sur un long couloir. Le sol était recouvert d’un épais tapis de velours, des tapisseries ornaient les murs et des lustres aux cristaux lumineux étaient fixés au plafond. Saryahblööd utilisa une nouvelle fois son pouvoir afin d’ouvrir une autre porte à distance, et entra d’un pas décidé dans une pièce remplie de soldats. Ces derniers, en faction, tournèrent légèrement la tête dans leur direction, mais ne bronchèrent pas lorsque le pnj ouvrit la porte rouge et or qu’ils gardaient. Le prêtre découvrit au centre d’une pièce circulaire, dont les murs étaient recouverts d’une fresque, un gros tube en verre sortant du sol, et s’enfonçant dans le plafond. Ils entrèrent dans une cabine recouverte de velours du sol au plafond, une porte argentée coulissa, et ils s’élevèrent. Il s’agissait d’une sorte d’ascenseur particulièrement luxueux. Après une dizaine de secondes, il y eut une légère secousse, et la porte s’ouvrit en émettant un vrombissement. »