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Forêt gigantesque aux alentours de [[Dunkil]] couvrant plus de la moitié du continent de [[Syrial]].
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La [[Forêt de Mydria]] est une gigantesque zone boisée autour de [[Dunkil]], couvrant plus de la moitié du continent de [[Syrial]].
  
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Elle est très dense, et la canopée forme un plafond hermétique dont seuls quelques rayons de soleils parviennent jusqu’au sol. Les troncs d’arbres mesurent en moyenne une centaine de mètres de haut, pour une circonférence d’environ trente mètres. Ils sont assez espacés les uns des autres, mais les déplacements ne sont pas faciles pour autant. En effet, le sol est doté d’un relief important et d’une végétation surprenante. Il est parsemé de rochers couverts d’une mousse épaisse. Parfois, les arbres laissent place à des prairies, toujours couvertes par les feuilles, parsemées de plantes variables et de fleurs multicolores. La plus étrange de ces plantes ressemble à une grosse boule d’aiguilles violettes changeant de taille comme si elle respirait. En guise de sépales, elle possède cinq pétales aux différentes teintes de rose qui tourbillonnent continuellement. Cette fleur possède une demi-douzaine de pédoncules qui ondulent comme des tentacules<ref>{{Roman Néogicia|livre=1|page=218|noarticle=}}</ref>.
  
 
== Références ==
 
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Version du 2 avril 2022 à 16:08

La Forêt de Mydria est une gigantesque zone boisée autour de Dunkil, couvrant plus de la moitié du continent de Syrial.

Elle est très dense, et la canopée forme un plafond hermétique dont seuls quelques rayons de soleils parviennent jusqu’au sol. Les troncs d’arbres mesurent en moyenne une centaine de mètres de haut, pour une circonférence d’environ trente mètres. Ils sont assez espacés les uns des autres, mais les déplacements ne sont pas faciles pour autant. En effet, le sol est doté d’un relief important et d’une végétation surprenante. Il est parsemé de rochers couverts d’une mousse épaisse. Parfois, les arbres laissent place à des prairies, toujours couvertes par les feuilles, parsemées de plantes variables et de fleurs multicolores. La plus étrange de ces plantes ressemble à une grosse boule d’aiguilles violettes changeant de taille comme si elle respirait. En guise de sépales, elle possède cinq pétales aux différentes teintes de rose qui tourbillonnent continuellement. Cette fleur possède une demi-douzaine de pédoncules qui ondulent comme des tentacules[1].

Références

  1. Second éveil (roman Néogicia, livre 1), page 218