Bouclier technologique
Le bouclier technologique est la création permettant à l'Empire de vivre et de développer de nouvelles connaissances et de nouvelles technologies à l'abri des factions ennemies[1].
Les villes de Centralis et de Dunkil possèdent un bouclier qui les protège et qui compense le désavantage de se trouver toutes deux en terrain découvert[2]. Il en est de même pour la base militaire d'Alborne, vulnérable par sa localisation sur le continent d'Örn contrôlé majoritairement par la Coalition[3].
Le principe du bouclier est le suivant : une colonne de particules d'énergie de rosaphir est propulsée dans l'air ; les particules sont ensuite captées par des réacteurs (ils sont huit à Centralis) de façon à former une surface uniforme et infranchissable pour tout autre qu'un néogicien qui serait tué par les radiations.
Le bouclier de Centralis compte 1 milliard de points de Vie. Il n'est donc pas invulnérable : sa puissance peut être réduite par des attaques[4], voire même anéantie si la puissance des attaques dépasse la capacité de renouvellement de l'énergie, comme lors de l'attaque de Dunkil par l'Ordre[5]. Il faut alors recharger le bouclier par des fragments de rosaphir[6]. Une autre méthode pour le franchir consiste à saboter les réacteurs de façon à perturber la diffusion régulière des particules d'énergie. Enfin, il existe un vaccin qui permet à celui qui le reçoit d'être immunisé contre les radiations : Gratouille, le pikouaï de Saly Asigar, en a bénéficié pour suivre sa maîtresse à Memoria[7].
Références
- ↑ Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 66-67
- ↑ Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 60
- ↑ Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 117
- ↑ A la guerre comme à la guerre (BD Noob, tome 10), page 7
- ↑ Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 285
- ↑ Rosaphir - partie 1 (Saison 3, épisode 18)vidéo
- ↑ Héritage (roman Néogicia, livre 2), page 298