Rolmu Patachop
Personnage non joueur | |
Ethnie : | Olydrien (Coalition). |
Métier : | Explorateur et zoologiste. |
Voir également Patachop (dans le jeu Noob RPG : Les sans-factions).
Rolmu Patachop était un célèbre explorateur du début du Troisième Âge. Il est l’auteur du Codex de Patachop, une encyclopédie zoologique d’Olydri faisant office de référence aujourd’hui encore auprès des spécialistes en la matière[1].
Il a arpenté Olydri en long, en large et en travers avec pour seul objectif le référencement de chaque espèce. Les parchemins originaux comportant ses croquis et ses observations manuscrites sont soigneusement conservés à Glacesang.
Il est important de noter que c’est Patachop qui a sauvé le smourbiff de l’extinction en indiquant à ces pauvres familiers, n’ayant que des prédateurs, un certain nombre de refuges secrets situés aux quatre coins du globe. Depuis, les smourbiffs prolifèrent et aujourd’hui, c’est l’animal dont la population est la plus dense en Olydri ! Parmi ces havres de paix, la rumeur fait état d’une clairière et d’une île...
À la mort de Patachop, ses descendants ont poursuivi son œuvre en complétant le Codex, notamment après la levée de la malédiction du continent de Syrial ayant révélé l’existence de créatures nouvelles ou oubliées à l’image du pikouaï. L’ouverture des portails vers les autres mondes par Tabris et Saralzar a aussi chamboulé l’ordre établi.
Patachop avait pour projet de diviser son codex en deux parties distinctes. La première est le bestiaire qui continu d'être alimenté et la seconde aurait dû être consacrée aux ethnies d’Olydri. Malheureusement, le célèbre zoologiste est mort avant de s’y atteler. Son codex est donc resté inachevé, mais ses enfants, puis ses arrière-petits-enfants et ainsi de suite ont exploré, observé, annoté et croqué ce qui devait l’être. Leurs découvertes ont été reprises dans les grimoires de chacune des factions et sont régulièrement mises à jour. Comme le craignait Patachop de son vivant, ses descendants se sont heurtés à la difficulté de classer convenablement une poignée d’espèces à la trajectoire incertaine. Par exemple, il apparaît comme sévère de limiter les vampires, les démons ou les cuirverts au bestiaire, mais à l’heure actuelle, ils ne peuvent pas non plus être considérés en tant qu’ethnies au même titre que les Keosiens. Les choses pourraient donc changer en fonction de leur évolution[2].