Différences entre versions de « Dunkil »
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Version du 19 janvier 2014 à 20:03
Dunkil est la première ville construite par l'Empire sur le continent de Syrial. C'est l'équivalent de Touratroce pour l'Empire.
C'est également un refuge en cas de difficulté : Heimdäl se rend à Dunkil (moins à portée de la Coalition que le continent de Keos) pour rassembler les joueurs de l'Empire en pleine débandade. Lors de l'attaque de Centralis par la Coalition, c'est à Dunkil que Keynn Lucans prévoyait de se réfugier.
Extraits du Continent sans retour (roman Noob, saison 2.5) :
« J’ai fait construire une seconde cité (sur le continent de Syrial), plus petite, calquée sur le modèle de Centralis. Je l’ai nommée Dunkil. Elle a pour but d’optimiser nos chances de trouver l’artéfact les premiers, en facilitant le transit de nos moyens logistiques. Vous connaissez la vision des Lucans. Nous cherchons des forces de dissuasion, nous ne voulons pas de guerre. Nous nous contentons de repousser la Coalition depuis des milliers d’années pour protéger le secret de la technologie. Nous avons même signé un pacte avec Lys et Ark'hen en ce sens.
En contrebas, les joueurs aperçurent distinctement une vaste forêt luxuriante. A présent, l’appareil flottait lentement dans les airs. Ils approchaient de leur destination. Une teinte rose succéda à celle du ciel et des arbres. Le glisseur avait franchi un bouclier protecteur semblable à celui de Centralis. La sphère approcha d’une tour de lancement minuscule, comparée à celle de la capitale de l’Empire. Elle s’engouffra dans un tuyau transparent, fut stoppée par un mécanisme dans un panache de fumée et d’étincelles, avant d’être saisie par une pince de métal et déposée sur une plateforme mobile. Les passagers de l’appareil furent acheminés vers la porte de débarquement numéro une, et le sas s’ouvrit en émettant un léger vrombissement.
Dunkil était relativement différente de sa grande sœur Centralis. La cité avait été bâtie en pleine nature, au cœur d’une forêt vierge. Les installations étaient séparées par des sentiers traversant de grandes pelouses verdoyantes parsemées de buissons multicolores aux fleurs exotiques. La superficie du bouclier protecteur était relativement modeste et les constructions n’excédaient pas une quarantaine de mètres de hauteur. Jusqu’à maintenant, les forces militaires avait fait le nécessaire pour rester discrètes en se déplaçant en effectifs restreints. Désormais, cette base allait certainement être amenée à s’étendre dans les mois à venir, afin d’être en mesure d’accueillir les milliers d’aventuriers en partance pour le Continent sans retour, s’imagina Arthéon. Le principe de faire évoluer une région au fur et à mesure de l’accomplissement des quêtes par les joueurs était une pratique courante, dans les jeux vidéo en ligne. Le chef des armées de l’Empire bifurqua sur sa gauche, et entra dans un grand dôme composé de verre et de métal peint en blanc. Ils débouchèrent sur une vaste salle remplie d’écrans de contrôle. Au centre, une station informatique permettait de tout gérer. Des ingénieurs étaient affairés, et ne remarquèrent même pas l’arrivée des joueurs, de plus en plus nombreux au fur et à mesure de l’arrivée des glisseurs. Sur la droite, perché sur une estrade, se trouvait le vieil explorateur rencontré dans la salle de la cartographie. Il semblait dessiner quelque chose sur un grand tableau affichant un tracé presque entièrement vierge du Continent sans retour. Seule la cité de Dunkil et ses proches alentours y étaient représentés au centre. »